Fauteuil Transat - Eileen Gray

ART ET PARESSE


Alors que règnent dans notre société les injonctions à l’efficacité, à la productivité et à la performance, Un podcast, une œuvre explore la notion de paresse. Quels liens existent-ils entre l’art et la paresse ? Que nous disent les artistes modernes et contemporains de ces injonctions modernes à aller toujours plus vite et à battre tous les records ? Cette série de 4 podcasts vous propose de ralentir pour découvrir un éclairage inédit sur ces questions, grâce à 4 œuvres de la collection du Centre Pompidou.


Épisode 3

Eileen Gray, Fauteuil Transat, 1926 – 1929


Longtemps oubliée, la designeuse et architecte Eileen Gray laisse derrière elle les meubles et les maisons qu’elle a conçus, dont ce transat et la villa E1027, pensés pour le loisir et le repos. En revenant sur son histoire, l’urbaniste Charlotte Malterre-Barthes s’interroge sur la dimension inégalitaire inhérente à la paresse : finalement, si le droit à la paresse existe, qui peut en profiter ? 


Crédits

Écriture et réalisation : Camille Regache

Production : Clara Gouraud

Enregistrement et mixage : Ivan Gariel

Lectures : Clémence Boissé

Avec la participation de Charlotte Malterre-Barthes, urbaniste et architecte, et Catherine Lascault, conférencière au Centre Pompidou

Extraits musicaux : Grand Blanc, « Loon » ; Maud Geffray « Goodbye Yesterday », « Sick of love », « Moonshine », Kirsikka ; Léonie Pernet, « Intérieur Négro », « Vowel », « Le cirque de consolation »


Reproduction de l'œuvre : © droits réservés Crédit photo : Jean-Claude Planchet - Centre Pompidou, MNAM-CCI /Dist. RMN-GP


Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.