Pourquoi manger local ne sauvera pas la planète

L’alimentation, c’est un quart des émissions de CO2 dans le monde, et ça c’est énorme. Alors ça vous est arrivé, ne dites pas non, d’hésiter entre les courgettes d’Espagne et celles qui viennent de Picardie. Oui mais voilà, il y a un gros problème: la part du transport dans la pollution lié à l’alimentation, c’est… accrochez-vous…uniquement 6%.


Chaque semaine, L’enver(t) du décor fait le tri (sélectif) dans l’info environnement. Les journalistes du HuffPost démêlent le vrai du faux sur les questions qui font débat pour vous aider à y voir plus clair face aux “fake news” et aux fausses bonnes idées pour sauver la planète.


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Sources et références de cet épisode:

  • Nous avions déjà parlé de l’impact du local, des fruits et légumes de saison, du méthane dégagé par les vaches et de l’impact climatique de la viande (de boeuf ou non) dans notre dossier dédié à l’alimentation et l’agriculture, publié en février 2020.
  • Concernant l’étonnante comparaison entre l’agneau anglais et néo-zélandais, plusieurs études ont été réalisées (ici, ici ou )
  • L’étude de Science qui a analysé 38.000 fermes et 40 produits différents.
  • L’étude de Global Food Security qui a fait le même travail et comparé les assiettes européennes
  • Le graphique de Our World In Data (utilisant les données citées ci-dessus)comparant le poids de chaque aliment
  • Sur le manger local prôné par le gouvernement, les

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