Philippe Gardent (le boss des "Barjots") : "plus jeune, j'étais un âne bâté"

Cette semaine, on discute avec Philippe Gardent. Si vous avez suivi les JO de Barcelone en 1992 (ça nous rajeunit pas, ma ptite dame), vous vous souvenez sans doute de Philippe, capitaine de l'équipe de France de handball, médaillé de bronze surprise aux JO, puis championne du monde en 1995 - on l'oublie souvent, mais ils ont été la première équipe française à gagner un titre mondial en sport co, avant même les footballeurs en 1998.


Philippe, c'est un vrai MEC avec tous les attributs du mâle : il est grand, il est balèze, il a une grosse mâchoire, une grosse voix, c'est un meneur d'hommes. Mais aujourd'hui à 56 ans, Philippe avoue être beaucoup plus détendu sur certains aspects de sa masculinité.


Vous allez voir qu'il a mis du temps à s'ouvrir, il tente pas mal d'esquiver la question de la masculinité pendant un long moment, mais quand il finit par baisser la carapace, ça vaut la peine. D'ailleurs, juste après l'interview, j'lui disais qu'il m'avait donné du fil à retordre, et il m'a répondu "bah fallait bien que j'te laisse un peu travailler, aussi !". Il est comme ça, Philippe. Un immense merci à lui pour sa confiance et désolé d'avance pour le bruit de fond à la fin du podcast, son équipe arrivait dans le resto où enregistrait. 


(et merci à Mai Hua pour la mise en relation avec Philippe !)


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