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On boit un coup ou on...?

Philippe Formentin

Season 1, Ep. 9

Philippe Formentin fait du vin et comme il le dit : "On s’en fout de le dire naturel, c’est du vin." Basé dans le Languedoc à 40 km de Montpellier, le nom du domaine cache déjà son originalité : Opi d’Aqui. Au cours de sa formation en 1998, les sulfites restent la règle d’or : impossible de faire du vin autrement. Mais c’est au gré des rencontres que ce vigneron découvre le vin naturel et devient négociant-vinifiçateur. Avec Vincent Sulfite, ils ont dégusté une bouteille qui n’a pas encore de nom, et cela ne les a pas empêché d’apprécier ses grenaches.

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  • 14. Luc Lybaert

    12:05
    D’origine belge de la plus belle ville du pays, Luc Lybert est venu dans les Cévennes en 1966. Ce territoire est aujourd’hui celui de son vignoble. Allergique aux sulfites, ce choix du vin naturel s’est réalisé de manière étonnante dans ce terroir très calcaire et minéral. Avec Vincent Sulfite, ils ont parlé de son histoire, de son rapport à la vigne et à la géologie en dégustant une bouteille de 2015, une année très tannique.
  • 13. Raphaël Monnier

    12:14
    Dans ce nouvel épisode d’On boit un coup ou on…? Vincent Sulfite rencontre Raphaël Monnier, vigneron dans le Jura du domaine Ratapoil.Anciennement professeur d’histoire-géographie, il s’intéresse à la vigne lorsqu’il est muté pour son travail et apprend sur le tas. Ainsi, de vigneron amateur en 2000 dans la région arboisienne, la passion du vin l’emporte et Raphaël se professionnalise en 2009.Aujourd’hui, le domaine possède une grande variété de cépages en rouge et blanc sur 4,5 hectares…Avec Vincent Sulfite, ils ont dégusté le Ratapoil cuvée 2018, un rouge d’anciens cépages jurassiens.
  • 12. François Ecot

    12:44
    « Ce qui est chouette, c’est remarquer la dynamique du vin nature. J’ai beaucoup d’admiration pour tous ceux qui s’y emploient. »Dans ce nouvel épisode d’On boit un coup ou…?, Vincent Sulfite rencontre François Ecot, vigneron en Bourgogne au domaine l’Insolent depuis 2000.Il n’est pas vigneron de père en fils, c’est son grand-père, amateur de vin, qui lui a montré comment partager un moment avec un vigneron.Avec Vincent Sulfite, ils ont dégusté la cuvée « Six Cépages » 2018 (Pinot Noir, Gamay, Pinot Beurot, Abouriou, César, Pinot d’Aunis), dont les cépages ont été plantés sur une même parcelle, sur les côteaux de Mailly-le-Château.
  • 11. Christian Binner

    14:11
    « On a des vignes qui n’ont jamais vécu la chimie »Dans ce nouvel épisode, Vincent Sulfite rencontre Christian Binner, vigneron au domaine du même nom à Ammerschiwihr, en Alsace.Vigneron alsacien de longue date dans le vin nature (son 20ème millésime, c’était cette année !), ses plus vieilles vignes datent des années 30. Déclinés par territoires, sa large gamme de vins sont assemblés ou mono-cépages.En 2015, il monte avec ses associés le projet des « Vins Pirouettes » : accompagner des vignerons bio et biodynamiques à vinifier leurs vins chez eux pour réaliser des vins natures.Avec Vincent Sulfite, ils ont dégusté le Grand Cru 2014 « Kaerfferkopf » (« La tête de scarabé »), dont le sucre naturellement présent dans le vin a été utilisé pour relancer la deuxième fermentation et faire des bulles.
  • 10. Baptiste Bley

    11:23
    « Ce qui nous fait vibrer c’est d’essayer de retrouver le vin qui était produit il y a quelques centaines d’années. »Dans ce nouvel épisode, Vincent Sulfite part à la rencontre de Baptiste Bley, vigneron du Clos Siguier à Cahors.Vigneron de père en fils, c’est la famille de Baptiste Bley qui a fondé ce domaine en 1779, dédié exclusivement à la production de vin. Passionné par le métier, il travaille aujourd’hui avec son père Gilles et sa soeur Camille. En plus de leur cépage phare, le malbec, il fait également pousser des cépages oubliés comme le mauz ac. Pour le rouge, le tannat est fortement apprécié et crée l’identité de la maison. Avec Vincent Sulfite, ils ont dégusté la cuvée « Vieille Vignes » 2016, un malbec dont la parcelle fût plantée par ses grands-parents.
  • 8. Jacques Carroget

    12:08
    Originaire d’un village vigneron, où « tout le monde faisait de la vigne » avant les années 60, Jacques Carroget faisait déjà du vin à 15 ans le jeudi après l’école. Il reprend la tête du domaine en 1978 et y amène le souffre à cette époque-là. Mais même si elle correspondait aux stéréotypes de l’époque, la bouteille était mauvaise. Il a fallu alors ré-apprendre à faire du vin, du vrai.Avec Vincent Sulfite, ils ont parlé très cash du vin nature, du réchauffement climatique et la qualité des tannins autour d’une bouteille de « Grolleau ».
  • 7. Nicolas Carmarans

    14:47
    « Vendre du vin, parler du vin, en boire, c'est une chose, mais de là à faire du vin, et du vin qu'on aime boire, c'est un autre monde. »Dans ce nouvel épisode, Vincent Sulfite part à la rencontre de Nicolas Carmarans, vigneron fils d’Aveyronnais et passionné de vin naturel. Après avoir repris la gestion de Café de la Nouvelle Mairie, « l'endroit ancestral du vin naturel » à Paris, il décide de se lancer dans la production, animé par l'envie de créer son propre vin. En 2003, direction ses terres d'origine dans le nord de l'Aveyron pour planter ses premières vignes.Avec Vincent Sulfite, ils ont dégusté le Minimus, rosé pur fer-servadou, son premier vin de l'année 2019. En savoir + :http://www.lacavedespapilles.com/
  • 6. Lydie Chancelle

    12:08
    Turcan, un petit village sur les bords de Loire qui est autant souterrain qu’aérien. C’est dans ce paysage troglodyte que Lydie Chancelle fait du vin. Au-dessus de sa cave, il y a les vignes, et les racines des vignes traversent la roche et arrivent dans les caves. « Le vin je suis tombée dedans comme Obélix quand j’étais petite ». Et ce, sûrement, quand son arrière arrière arrière arrière grand-père décida d’en faire.Avec Vincent Sulfite, ils ont dégusté la cuvée « coup de foudre » et ont parlé racines, passion et vin nature pour sûr.