Inégalité des études supérieures que l'on soit jeune citadin ou rural

Aujourd’hui dans «Minute Papillon!», on parle des études supérieures… qui sont différentes selon qu’on vient d’une grande ville, d’une petite ville ou d’une zone rurale… Une enquête de l’association Chemins d’avenir et de la Fondation Jean-Jaurès, réalisée par l’Ifop, publiée par 20 Minutes, révèle en effet que le lieu d’habitation des jeunes influe sur les choix d’études.

Car pour bien s’orienter dans le supérieur, il faut avoir conscience des formations qui s’offre à soi. Ce n’est pas toujours le cas pour les jeunes de 17 à 23 ans. La famille et le réseau social sont la première source d’information pour préparer leur orientation (35 %), devant Internet (21 %) ou les professeurs de lycées (15 %).

Environ un tiers (32 %) des jeunes de l’agglomération parisienne disent ne pas avoir suffisamment d’informations pour s’orienter. Un chiffre qui monte à 42 % pour ceux des zones rurales ou des agglomérations de 2 à 20.000 habitants.

Autocensure, mimétisme familial, manque d’informations et de moyens pour étudier à l’étranger, autant d’éléments qui limitent surtout les jeunes des petites villes et des zones rurales par rapport aux jeunes citadins. Comment faire pour briser ce déterminisme social ? Les éléments de réponses par Delphine Bancaud, journaliste à 20 Minutes.


Anne-Laetitia Béraud

Crédits sons : Longing – Joakim Karud/Musique libre de droits/Bisquit soul de Noodgroove – Fugue Icons8.com/Bruitage, loop : universal-soundbank.com


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