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![cover art for #33 Julien Guerrier (Édition Louis Vuitton)](https://open-images.acast.com/shows/5e5a76b6ae2ca7406ba34a92/1614029637228-0de7abac79f9b52f5f2f4458b7322446.jpeg?height=750)
Les Voix de la Photo
#33 Julien Guerrier (Édition Louis Vuitton)
Dans cet épisode nous échangeons avec Julien Guerrier, éditeur chez Louis Vuitton. Il revient sur son parcours, sa passion pour le livre d’album photographique et les différents projets de la maison d’édition au sein de la maison de luxe Louis Vuitton. Nous avons aussi abordé : l’évolution des maisons d’éditions, le soin porté à la fabrication de chaque ouvrage et les partenariats mis en place avec les Rencontres de la Photographie à Arles et Paris Photo. Bonne écoute !
SOMMAIRE
1’ : Son enfance et sa formation
5’ : Son affinité avec la photographie
10’ : Le début de sa carrière chez Louis Vuitton
11’30 : La création de la maison d’édition Louis Vuitton : une maison d’édition de livres de voyage au sein d’une maison de luxe
14’ : Rythme de publication et diffusion
16’ : Partenaire des Rencontres de la Photographie à Arles et de Paris Photo
24’30 : Les maisons d’éditions qui l’inspirent : Xavier Barral et Robert Delpire
31' : Ses conseils pour les jeunes éditeurs : suivre sa passion et être patient. Il faut 10 - 15 ans pour juger le travail d’un éditeur
Le LinkedIn de Julien Guerrier : https://www.linkedin.com/in/julien-guerrier-94326015/
Les livres de la maison d'édition Louis Vuitton : https://fr.louisvuitton.com/fra-fr/art-de-vivre/livres-et-ecriture/livres-sur-le-voyage/_/N-mk375u
Vos retours sont très importants pour améliorer ce podcast donc n'hésitez pas à m'envoyer vos questions, remarques et suggestions.
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120. [BEST OF] #120 [EN] Nina Roehrs (Digital Art Curator)
02:57||Saison 1, Ep. 120-> This episode is an extract from an interview. You will find the entire interview on this same account.In this episode, Nina Roehrs, curator of the Digital section at Paris Photo, explores the intersections between culture, art, and digitalization. She shares her experience with online galleries, her advice on exhibiting digital art in physical spaces, and the impact of new technologies on artistic practices. She also highlights the importance of networking for artists and curators. I hope you will like this episodeDigital sector at Paris Photo : https://www.parisphoto.com/fr-fr/exposant/Secteur_Digital.htmlPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour devenir partenaire du podcast : https://bit.ly/sponsoriserLVDLPLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort.120. #120 [EN] Nina Roehrs (Digital Art Curator) Blockchain, AI, and NFTs: How technology shapes contemporary art
38:09||Saison 1, Ep. 120In this episode, Nina Roehrs, curator of the Digital section at Paris Photo, explores the intersections between culture, art, and digitalization. She shares her experience with online galleries, her advice on exhibiting digital art in physical spaces, and the impact of new technologies on artistic practices. She also highlights the importance of networking for artists and curators. I hope you will like this episode2’00 – In Düsseldorf, Nina Roehrs wanted to become a veterinarian. Her hobby was horse riding.5’40 – She started collecting old watches, old cars, design furniture, and vintage furniture, and then moved to contemporary design.7’00 – According to her, it was not the most complicated idea to start a gallery. She learned from the artists she exhibited.7’50 – She discovered that she preferred living people over dead people. She exhibited at Design Miami and transitioned from design to art.11’10 – She decided to focus her gallery on art in the digital age, as technologies evolved with AI, Blockchain, and NFTs in 2021. A lot of things changed.12’00 –Net artists use the internet as their platform for artistic expression—they do not need a gallery. 13’50 – Digital art is not always purely digital. It can start digital and end physical: installations, sculptures, or printed works. 16’00 – "I am interested in the digital and physical spaces: no gravity, no limitations. I like experimentation. There are so many things we can do. "20’00 – The NFT art market: the majority of collectors are new people, often from cryptocurrency backgrounds.21’40 – Online platforms generating art based on algorithms are bringing new collectors into the art world.23’45 – The shift from physical to online galleries: blockchain and NFTs are influencing traditional spaces.25’00 – Exhibiting digital art in physical spaces requires new curatorial approaches and specialized knowledge.29’00 – Advice for digital art gallerists: art curators should start with a strong network of artists and collectors. Make small investments and take it step by step.31’30 – Advice for artists: build a brand on social media like Twitter/X, attend events, and collaborate with other artists.34’30 – Follow famous artists and see who they follow and who follows them.35’30 – Artists, please don’t send portfolios. Nobody will look at them. Instead, meet people in person and make connections.Digital sector at Paris Photo : https://www.parisphoto.com/fr-fr/exposant/Secteur_Digital.htmlPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour devenir partenaire du podcast : https://bit.ly/sponsoriserLVDLPLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort.119. [BEST OF] #119 Jean-Jacques Farré (Rédacteur en chef, éditeur, maquettiste)
04:13||Saison 1, Ep. 119-> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Jean-Jacques Farré, auprès des photos chez Libération et Télérama, partage son parcours, depuis ses débuts à l’AFP jusqu’au lancement de la revue LIKE en 2020. Il nous parle des évolutions technologiques qui ont rendu la création de revues plus accessible, les relations entre photographes et rédactions, et partage ses conseils pour publier ou créer une revue. Bonne écoute !Le site de la LIKE : https://www.touslesjourscurieux.fr/Abonnez-vous à ma Newsletter-> Newsletter les Voix de la PhotoPour devenir partenaire du podcast : https://bit.ly/sponsoriserLVDLPPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort.119. #119 Jean-Jacques Farré (Rédacteur en chef, éditeur, maquettiste) De Libération à LIKE : Une vie dédiée au photojournalisme et à l’édition
01:16:56||Saison 1, Ep. 119Jean-Jacques Farré, auprès des photos à Libération et Télérama, partage son parcours, depuis ses débuts à l’AFP jusqu’au lancement de la revue LIKE en 2020. Il nous parle des évolutions technologiques qui ont rendu la création de revues plus accessible, les relations entre photographes et rédactions, et partage ses conseils pour publier ou créer une revue. Bonne écoute !1’18 – Né dans la banlieue de Grenoble, issu d’une famille ouvrière immigrée espagnole. Marqué par des profs militants qui cherchaient à enseigner à tout le monde.3’00 – Sa découverte de la presse : un voisin postier de nuit lui ramenait des journaux. Il découpait les photos et les colonnes pour recréer des pages.5’00 – Reçoit un appareil photo comme cadeau de communion. Poussé par un camarade, il passe et réussit le concours des Beaux-Arts de Saint Etienne.7’13 – Écrit au rédacteur en chef du journal Le Progrès de Saint-Étienne pour accompagner les photographes. Commence un travail au labo photo le week-end, gagnant plus que son père.11’30 – Participe à des mouvements sociaux à Saint-Étienne, écrit des articles et remplace des correspondants.15’50 – Comprend qu’il veut devenir journaliste. Monte à Paris avec une lettre de recommandation du Progrès et entre à l’AFP.16’30 – À l’AFP, travaille au labo photo et découvre le monde des photographes de l’agence.23’00 – Arrivée au journal Libération : met de l’ordre dans les archives photo et participe à la création de maquettes avec les directeurs artistiques du journal.24’30 – Joie de collaborer avec des photographes comme Gilles Favier, Depardon, Doisneau, Salgado. Confiance totale entre les différentes équipes : photographes, maquettistes et rédacteurs.31’45 – Intègre Télérama en 1996, monte un service photo dans les règles de l’art, puis revient en freelance, travaillant sur des projets variés.40’00 – Lancement de la revue LIKE en 2020, un projet personnel qui rassemble ses apprentissages et met en avant les récits des photographes.46’40 – Grâce aux avancées technologiques, produire une revue est plus accessible. Partenariat avec son imprimeur, Shira, pour assurer qualité et coûts raisonnables.50’40 – Gestion du modèle économique de la revue LIKE : boutique en ligne, incitations aux abonnements, et communication quotidienne avec les abonnés.55’45 – Découvre l’importance des tables de vente dans les salons pour promouvoir la revue, devenant un moteur principal de son développement.1’00’00 – Conseils pour les photographes : proposer tous les genres et restituer les images de façon claire. Mention spéciale pour Alice Pallot et Marine Lagnier.1’06’30 – Protocole pour être publié : se baser sur les sorties de livres photos et offrir un panorama large des pratiques photographiques.1’08’15 – Conseils pour créer une revue : s’appuyer sur ses compétences, ne pas hésiter à copier pour apprendre, et se perfectionner au fil du temps.1’11’10 – Accessibilité des techniques actuelles : être curieux et généreux. Le retour immédiat des lecteurs permet de progresser rapidement.1’15’10 – Le prochain numéro de LIKE (n°19) sort en janvier, accompagné d’un hors-série.Le site de la LIKE : https://www.touslesjourscurieux.fr/Abonnez-vous à ma Newsletter-> Newsletter les Voix de la PhotoPour devenir partenaire du podcast : https://bit.ly/sponsoriserLVDLPPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort.118. [BEST OF] #118 [EN] Daria Bonera (Photography agent and producer)
05:20||Saison 1, Ep. 118Abonnez-vous à ma Newsletter-> Newsletter les Voix de la Photo-> This episode is an extract from an interview. You will find the entire interview on this same account.In this episode, I am with Daria Bonera, who chose to carve her own path in the photography industry rather than follow in her mother’s footsteps. After studying at Central St Martins, she began her career at Grazia Neri Agency, representing international photographers. Daria shares her experiences transitioning from Milan to New York and the insights she gained about the differing photography markets. Now working as an independent consultant and producer, she offers valuable advice for aspiring photographers about collaboration, confidence, and humility.DB Agency's website: https://www.dariabonera.com/Pour devenir partenaire du podcast : https://bit.ly/sponsoriserLVDLPPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort.118. #118 [EN] Daria Bonera (Photography agent and producer) Representing and producing: Her multifaceted role
33:23||Saison 1, Ep. 118Abonnez-vous à ma Newsletter-> Newsletter les Voix de la PhotoIn this episode, I am with Daria Bonera, who chose to carve her own path in the photography industry rather than follow in her mother’s footsteps. After studying at Central St Martins, she began her career at Grazia Neri Agency, representing international photographers. Daria shares her experiences transitioning from Milan to New York and the insights she gained about the differing photography markets. Now working as an independent consultant and producer, she offers valuable advice for aspiring photographers about collaboration, confidence, and humility.2’15 – She did not want to be a photographer like her mother, but she wanted to work in the field of photography.5’30 – She studied fashion at Central St Martins, and her courses were not focused on photography. She started working at Grazia Neri Agency, the agency that represents her mother.8’10 – She represented international photographers. Her job involved presenting photos to the sales team of the agency and finding new photographers.10’ – She went to New York when she was 30 years old because the market was changing (online content and the financial crisis), and she was looking for a new challenge. She worked as a consultant for Grazia Neri and for Donna Ferrato, a prominent photographer represented by Grazia Neri in the States. She decided not to stay in New York and went back to Milan.14’ – The main differences she observed between the photography industries in New York and Milan are that New York is a huge market, home to the bibles of photojournalism like The New York Times and the National Geographic Society, while the design and fashion market is significant in Italy, with fewer opportunities but also fewer competitors.16’ – She started working as an independent consultant because the big agency couldn’t survive (Grazia Neri closed down in 2009).18’ – She decided to be a photography consultant and producer, working with photographers, as well as videomakers and film directors.21’45 – Now, she works more and more directly with clients rather than through an agency. Advertising agencies are also having a hard time these days, and brands often have their own marketing offices.25’ – Her advice to young photographers seeking to enter the industry is to build a team around them. They should be confident, never stop dreaming, and be humble. Young photographers can't be snobby when it comes to commercial jobs.31’ – The qualities she looks for when she meets a photographer are technique, composition, light, choice of subject, unique vision, and magic!DB Agency website : https://www.dariabonera.com/Pour devenir partenaire du podcast : https://bit.ly/sponsoriserLVDLPPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort.72. [REPOST] #72 Simon Baker (Maison Européenne de la Photographie)
48:01||Saison 1, Ep. 72Abonnez-vous à ma Newsletter-> Newsletter les Voix de la Photo-> Il s'agit d'une rediffusion d'un épisode posté en 21 décembre 2022.Cet épisode avec le directeur de la Maison Européenne de la Photographie, Simon Baker est le premier épisode avec un focus sur le Japon. Avec Simon, nous avons abordé sa carrière d’historien et d’enseignant, puis ses années à la Tate Modern au département Photographies et Art International et son rôle à la MEP. Nous avons abordé les évolutions du milieu de la photographie : en particulier le fait que les artistes se définissent de moins en moins par le médium, mais plutôt par leurs engagements, mais aussi l’importance des institutions d’avoir une programmation et des collections représentatives des diversités. Il revient sur sa relation avec la photographie japonaise à travers sa rencontre avec les livres photos japonais via la collection de livres photo de Martin Parr, l’exposition Daido Moriyama et William Klein à la Tate Modern et le réseau qu’il s’est construit au Japon (la Galerie Taka Ishii, le galeriste et éditeur Akio Nagasawa, Tomo Kosuga (Fondation Fukase)… Bonne écoute !01’30 – Sa formation universitaire avec une spécialisation dans le mouvement surréaliste, l’enseignement en histoire de l’art et conservateur puis responsable du département Photographies et Art international à la Tate Modern.6’30 – Ce qui est spécifique à la MEP : une des plus grandes collections photo après les années 50 en France (25 000 tirages) et c’est la première institution dédiée à la photographie en France.08’20 – L’ADN de la MEP a changé. On y montre encore des artistes vivants ou ceux qui n’ont pas été montrés à Paris, mais c'est aussi importance de montrer des identités différentes, des pays et approches différentes et d’être un lieu d’accueil pour une grande diversité. Aussi, maintenant les artistes se définissent moins par le médium que par leurs engagements.13’ – Le métier de directeur de musée est un rôle de coordination entre les différents services et la relation avec les mécènes et la ville.17’45 – Sa relation avec la photographie japonaise a commencé quand il est arrivé à la Tate en tant que spécialiste des années 20-30. Il a commencé à travailler sur l’acquisition de la bibliothèque de livres photo de Martin Parr et Martin Parr lui a dit que les photographes japonais ont été très influencés par William Klein. Il a travaillé sur une expo Daido Moriyama/William Klein à la Tate Modern.25’30 – Son conseil pour découvrir la photographie japonaise est de consulter des livres photos comme par exemple History of the photobook de Martin Parr ou Les mémoires d’un chien de Daido Moriyama chez Delpire and co. Avant c’était impossible, car les livres n’étaient pas traduits.34’ - L’histoire de la photographie est très masculine, mais la photographie devient une activité féminine. Les étudiantes sont majoritairement des femmes, donc les jeunes artistes montrés sont aussi majoritairement des femmes. 45’15 – Une des grandes difficultés qu’il note est qu’il est difficile qu’un livre photo soit visible dans un contexte de surproduction de livres photo. Il faut donc être conscient qu’il y a beaucoup de production et avoir un point de vue différent. Pour devenir partenaire du podcast : https://bit.ly/sponsoriserLVDLPPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort.66. [REPOST] #66 Michel Poivert (Historien chercheur)
51:56||Saison 1, Ep. 66Abonnez-vous à ma Newsletter-> Newsletter les Voix de la Photo-> Il s'agit d'une rediffusion d'un épisode posté en 13 juillet 2022.Le professionnel que nous écoutons dans cet épisode ne vous est sûrement pas étranger. Michel Poivert est historien-chercheur en histoire de la photographie et vous avez pu croiser son travail au travers d’un livre, d’une exposition ou d’une conférence. Dans cet échange, nous sommes revenus sur son métier d’enseignant-chercheur en histoire de la photographie et sur les différents courants de pensée dans cette discipline, mais aussi l’organisation de ses projets : la recherche, l’enseignement et le développement de projets lié à ses sujets de recherche (expositions, livres …). Nous avons aussi abordé un projet ambitieux qui lui tient particulièrement à cœur : le Collège Internationale de photographie qui a pour ambition de mettre en relation la création expérimentale, les savoir-faire des métiers de la photographie et le grand public. Bonne écoute !1’50 – Sa formation d’histoire de l’art et la rédaction d’une thèse sur les rapports entre la peinture et la photographie07’30 – Les évolutions de son métier d’enseignant-chercheur en histoire de la photographie10’20 – Comment enseigne-t-on l’histoire de la photographie en fonction des pays14’30 – L’articulation de ses projets : la recherche, l’enseignement et le développement de projets liés à ses sujets de recherche (expositions, livres …) et la question du réseau professionnel 25’ – Le projet du collège international de photographie : une structure mettant en relation la création expérimentale, les savoir-faire des métiers de la photographie et le grand public36’30 – Les évolutions dans le milieu de la photographie44’ - Le politique nous a fait croire que la photographie est un art démocratique, que c’est simple et facile. Les images ce ne sont pas toujours des photographies. Abus culturel de langage de confondre image et photographie49’ – Ses conseils : Se donner du temps, car le risque en photo c’est la surproduction. Ne pas faire des belles images, mais de la photographie.Le LinkedIn de Michel Poivert : https://www.linkedin.com/in/michel-poivert-4b949b37/L'Instagram de Michel Poivert : https://www.instagram.com/michelpoivert/Pour devenir partenaire du podcast : https://bit.ly/sponsoriserLVDLPPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort.84. [REPOST] #84 Sayaka Takahashi (PGI) ENGLISH EPISODE
21:48||Saison 1, Ep. 84Abonnez-vous à ma Newsletter-> Newsletter les Voix de la Photo-> Il s'agit d'une rediffusion d'un épisode posté le 6 juin 2023.PGI in Tokyo is the second-oldest photography gallery in Japan and in this episode, the actual director of this gallery, Sayaka Takahashi explains to us the evolution of her work as a gallerist for 20 years. When she started her main thought was to attract more people to come to the gallery and now she participates in photo art airs such as AIPAD in NY, portfolio reviews and organized talks. One of her new goals is to sell the work of the artists represented by the gallery to the right institutions. I hope you will like this second episode in English! 1’30- Her studies at Waseda University in Literature with her professor and photography critic Osamu Hiraki, her work experience at the Higashikawa International Photography Festival in Hokkaido and her encounter with Hiroaki Yoshino, the director of PGI Shibaura.3’30- PGI is a gallery specializing in photography with a labo for preservation and framing. She started to work for PGI as a part-timer in 1998 and became the director in 2010. When he was 18 years old, she heard about the “Onnanoko Shashin” movement (Onnanoko means female and shashin photography) and she was inspired by these female photographers.8’ – PGI opened in 1979 as a place to look at the physical print. The first commercial photo gallery in Japan is Zeit-Foto Salon which was owned by Etsuro Ishihara and PGI was the second one. The owner of the PGI studied medicine in California and met the photographer Ansel Adams here and he decided to open a gallery when he was back in Tokyo.10’- When she started as a gallerist her main thought was how to get more people to visit the gallery. They did 10 exhibitions per year, and now 6/8. They started to hold gallery talks, participate in portfolio and events to meet emerging artists, and participated in photo fairs (Tokyo Photo and AIPAD from 2013). After participating in AIPAD, now she has a new goal to place the work of the artists she works with within the right institutions. She learned a lot about photography when speaking with other dealers during AIPAD.13’34 – In 2022, she sold the work “The map” of Kikuji Kawada to the Museum of Fine Arts, Boston (an exceptionally large collection of negatives, contact sheets, 87 prints from 1989, plus vintage prints and a first edition from 1965 of the photographic book).15’ – Another example of a project is the exhibition and the book of Tokuko Ushioda “My Husband” which were released in 2022.20’- Her pieces of advice for young gallerists are to stay curious and interested in artists and to know their works perfectly to be able to introduce their works to more people.PGI website : https://www.pgi.ac/en/Pour devenir partenaire du podcast : https://bit.ly/sponsoriserLVDLPPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort.