Faut-il vivre nus pour ne pas déshabiller la planète?

La pollution liée au prêt-à-porter, à l’habillement, c’est plus que les vols internationaux et le trafic maritime mondial réunis: 1,2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre chaque année. Et ce bilan, malgré des habitudes de consommation qui changent, notamment avec le succès des applications de vente de vêtements d'occasion, n'est pas prêt de s'inverser...


Les sources utilisées:


L'étude de Carbon trust qui fait le bilan (lourd) de la pollution dégagée par l'industrie de la monde dans le monde.

Le bilan fait par l'ADEME sur le poids du prêt-à-porter dans les émissions de CO2 et son évolution.

La prévision du WWF sur l'augmentation de notre garde-robe dans les années à venir... et son coût environnemental.

Une thèse signée par Elodie Juge expliquant pourquoi la "consommation collaborative" nous pousse à consommer encore plus.

Le fashion pact, coalition mondiale d'entreprises de la mode pour le développement durable.

L'étude scientifique qui fait le bilan, en principe bon, du trajet d'un vêtement d'occasion, parue dans le Journal of cleaner production en 2018.


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