Comment composer une assiette qui fait (vraiment) du bien au climat

Faut-il devenir vegan pour sauver le monde? L’alimentation, c’est un quart des émissions de CO2 de la planète. Et dans notre assiette, l’empreinte carbone de la viande est vraiment hors catégorie.

Alors soyons simples. Et si la solution, c’était de faire ce que certains d’entre vous font sûrement déjà, et vivre de lait d’avoine, de quinoa et de tofu pour préserver la biodiversité et lutter contre le réchauffement climatique?


Malheureusement (ou heureusement, c’est à vous de voir), les choses ne sont pas si simples. Car quand on parle assiette, il faut penser aussi à la santé bien sûr, mais surtout penser global. Et donc ne pas oublier le coût économique et l’acceptation culturelle. C’est ce que l’on va décrypter dans ce nouvel épisode de L’enver(t) du décor, le podcast environnement du HuffPost.


Les sources utilisées:

  • Notre dossier sur le lien entre changement de l’alimentation et changement de notre modèle agricole.
  • Le coût environnemental de l’avocat et de la mangue est résumé dans cet article de la BBC très bien sourcé.
  • L’étude sur l’impact environnemental de différents légumes (dont l’asperge) au Royaume-Uni.
  • Plus de détails sur l’assiette durable dans notre article sur le manger local, ces deux études de Nicole Darmon et ses collègues.
  • Le panier moyen des Français par semaine et celui nécessaire pour réduire notre empreinte carbone alimentaire de 30% (infographie Inrae).
  • Sur les aliments estampillés vegans et ultra-transformés, cette étude et cet article sur l’analyse de CLCV.
  • La définition de l’assiette durable par la FAO.
  • Cet article sur le rapport du Giec sur l’utilisation des terres
  • Cet article du Guardian sur le débat autour de l’impact environnemental et social du quinoa

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