đ âOlivier CulmannâAuteur photographe
De la commande Ă lâĆuvreâŠ
Depuis que la notion dâartiste et dâĆuvre dâart existe, pour pouvoir crĂ©er et exercer leur art, les artistes ont toujours eu des travaux de commandes, des mĂ©cĂšnes, rĂ©pondu Ă des concours. Des commandes, qui au-delĂ de permettent de vivre, permettent Ă©galement Ă lâartiste de dĂ©velopper son Ćuvre, son Ă©criture singuliĂšre, cette particularitĂ© qui fait que lâon a fait appel Ă lui. Une pratique fortement dĂ©veloppĂ©e dans le champ de la photographie oĂč lâon ne compte plus le nombre de concours, de prix, mais aussi de Carte Blanche.
Câest de cette dimension de la Carte Blanche que jâai Ă©voquĂ©e avec Olivier Culmann, oĂč en 2021, il a Ă©tĂ© invitĂ© par Pernod Ricard pour rĂ©aliser un projet. Une Carte Blanche qui fera Ă©galement lâillustration du rapport annuel du Groupe. Une Carte Blanche oĂč Pernod Ricard laisse toute libertĂ© Ă lâartiste et oĂč lâartiste, par son Ă©criture singuliĂšre, doit aussi respecter et mettre en valeur l'image du Groupe.
Lors de la rencontre avec Olivier Culmann, nous avons abordĂ© ensemble cette question : âEn rĂ©alisant un travail de commande, ici sous la forme dâune Carte Blanche, tout en respectant lâimage, lâidentitĂ© du commanditaire, comment garde t-on, dĂ©veloppe t-on son Ă©criture singuliĂšre ? Dâun travail de commande, comment fait-on Ćuvre ?â
Pour dĂ©couvrir la rĂ©ponse, je vous invite Ă Ă©couter lâentretien dâOlivier Culmann rĂ©alisĂ© pour FranceFinArt.
Anne-Frédérique Fer
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