C'est le dernier tournoi de l'année : le Masters accueille les huit meilleurs joueurs de la saison toujours debout, pour une dernière édition sur le sol londonien, et pour décrocher le dernier grand titre de l'année.

C'est aussi le théâtre de bien des tergiversations sur l'évolution du tennis, notamment avec des prises de position assez étonnantes. C'est Novak Djokovic qui a lancé un pavé dans la mare en se faisant le porte-voix des personnes voulant réduire les tournois du Grand Chelem à deux sets gagnants au lieu de trois.

Un discours qui a abasourdi beaucoup de monde, dont nos consultants Arnaud Di Pasquale et Antoine Benneteau, qui ne voient pas pourquoi le numéro un mondial s'attaque à ces monuments du jeu, alors que ce sont ceux-là mêmes qui l'ont érigé en cador du circuit...

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