Le cri d’alerte des grands hébergeurs de montagne

Il s’appellent Pierre et Vacances, Club Med, Belambra ou MMV. Ils sont opérateurs de résidences de tourisme, de villages vacances ou de groupes hôteliers, ils représentent la moitié des nuitées en montagne et ils ont perdu 80% d’activité cet hiver avec la fermeture des remontées mécaniques. Or le dispositif d’indemnisation présenté par l’Etat en mars, censé à l’origine couvrir 70% de leurs charges fixes et notamment les lourds loyers courant sur l’année, ne couvrira que 15% de leurs pertes. Ils ont écrit à Jean Castex pour réclamer un soutien qui tiennent compte de la saisonnalité de leur activité, avec 85% de revenus sur 4 mois et la levée du plafond à 10 millions d’euros. Le point avec Patrick Labrune, président du Syndicat national des résidence de tourisme (SNRT), président du groupe Goélia.

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