Profits et bien commun, le casse-tête de Phenix

Phénix est l’un des fleurons de la tech for good. Avec sa plateforme numérique, la start-up se veut l’un des champions de la lutte anti gaspi. Depuis 5 ans, elle a su convaincre la grande distribution de donner ses invendus aux associations caritatives, plutôt que de les jeter, en rentabilisant la gestion des produits en fin de vie. Sur le papier, le modèle est sans faille. Mais qu’en pensent les bénéficiaires ? Bénévoles des associations caritatives, employés des supermarchés, personnes démunies… Michèle Foin est allée à leur rencontre en suivant le trajet des invendus, à bord d’un camion de Phénix. Une tournée parisienne qui montre qu’il n’est pas si simple pour la start-up de concilier profits et bien commun surtout lorsque la logique du zéro gaspi vient empiéter sur l’aide alimentaire.


Avec :

Jean Moreau, PDG de Phénix ; Jean Baptiste Blondel, consultant chez Wavestone ;

Djaffar et Nathalie, chauffeurs livreurs chez Phénix ;

Les bénévoles et les bénéficiaires des associations Montparnasse Rencontres, Basiliade, et de la Conférence Saint Vincent de Paul

Les employés des magasins parisiens de Franprix.


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